4 juin 2010

Mosjøen !

Salut,

je suis a Mosjøen et j ai encore pris pas mal de pluie aujourd hui alors que la meteo prevoyait grand beau temps. Ca ne fait que 85km mais je vais peut etre rester ici pour ce soir car il faut que je bricole un peu mes freins et ma chaine. L etape etait malgre tout assez jolie au milieu des massifs verts couverts de sapins et de bouleaux... Un petit col magnifique m a permis d admirer un superbe panorama sur les lacs et les rivieres du coins, c etait tres joli surtout avec le seul rayon de soleil du jour... Le vent n a pas ete super bon ce matin mais ca s est arrange par la suite car quand il pleut, il tombe d un coup net.

Bon week end a tous et a bientot !

Aymeric.

4 commentaires:

  1. Allez courage! c'est bientôt la fin de cette météo humide....je viens de regarder et ça devrait s'arranger pour quelques jours...Tes descriptions de paysage nous donne envie d'aller découvrir la Norvège! A une prochaine lecture. Bise franc-comtoise
    Sylvie.B

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  2. Merci, mais la meteo norvegienne, je l ai un peu en travers de la gorge. Ils annoncent du soleil tous les jours mais ca fait 10jours consecutifs que j ai eu de la pluie (et aussi du soleil, soyons honnete)...

    Rien de grave, a chaque averse, je ressors trempe mais je sais que 10km plus loin il fait grand soleil !

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  3. Essai transforme !!

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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.

La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.

C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
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