21 mai 2010

Karasjok


Salut,

Je viens de passer la frontière vers la Norvège après une étape dantesque de vent et de pluie. Je suis 15km avant Karasjok et j ai trouve des gens super dans un centre évangélique pour les gens en cure de desintox alcoolique...

Tout va bien à part que mon vélo fait un peu des siennes avec les vitesses et que mon appareil photo m oblige à prendre les photos à l aveuglette. C est tout mon équipement qui part en sucette...

Dernière frayeur on m annonce que le cap Nord est fermé aux touristes à certaines périodes hivernales... Coup de chance c est maintenant ouvert...

Pas trop le temps de détailler mais la Laponie était magnifique et j ai passé des moments magiques la-bas. La Norvège s annonce déjà splendide d après mes 5 premiers km...

Bisous et à bientôt (peut être la-haut)

Aymeric.

2 commentaires:

  1. Un petit coucou Aymeric, avec toujours autant de plaisir de te lire au travers de ce fantastique périple qu'est le tien. Te voilà donc déjà en Norvège, avec un peu d avance, non? Donc finalement le matériel est plus fragile que l'homme!
    Plein de bisous à toi, je pense à toi souvent.
    Isabelle

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  2. Gilbert et Thérèse25 mai 2010 à 16:08

    Bonjour Aymeric. Nous sommes actuellement en cure à Bourbonne les bains. Je suis revenu ce matin pour tondre ma pelouse. La méteo annonce de l'orage pour cette nuit et je me suis dépêché avant. Je reste ici jusqu'à après demain car j'ai une prise de sang. Après, je retourne à Bourbonne pour le reste de la cure.
    Te voilà desormais en Norvége. C'est beau la Norvège et ça me rappelle des souvenirs. J'aprécie tes commentaires. Tu as plus de temps pour admirer le paysage que nous n'en avions en autocar. Que de souvenirs engrangés et que de gens sympas rencontrés. Tout cela est formidable et te donne de l'élan pour la suite de ton aventure et de ta vie. gros bisous de tes grands parents qui pensent tellement à toi.

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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.

La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.

C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
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