Salut,
c'est encore moi la journée a été un peu étrange car après avoir eu un peu de mal a partir (la réception de l auberge n'était pas ouverte) J ai pu enfin récupérer mon vélo. Ensuite le vent terrible toute la matinée jusqu'à Sirventos, rien vu de valable avec ce temps pourri et j'ai roule pour faire du km uniquement. Cette après midi je voulais longer une autoroute mais la route de ma carte n'était qu'un sentier forestier alors je n'ai pas été là ou je voulais. Demi tour et 2h de perdues pour finir je change de route et je me retrouve dans un petit village où je rencontre une famille de Français qui essaye désespérément de quitter le pays mais qui ne trouve aucun avion... Ils ne peuvent pas m'accueillir car ils reçoivent des invités. Ils m' offrent le 4h et un bon café c'était sympa quand même. Je ne suis pas en avance et file vers Sesuoliai où je trouve un jeune ado qui parle anglais, ses parents m' accueillent et m'offrent du bon lait de traite de ce soir (encore chaud) et du jambon maison... Quel régal!!!
Bisous et a bientôt...
19 avr. 2010
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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
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