Le preux chevalier :
Au printemps de 1984, quelque part en comté dans un territoire sous l’emblème d’azur au lion d’or, naquit le jeune Aymeric. Rien ne le prédestinait à une telle fortune sinon l’éducation qu’il reçut de ses parents et sa sœur qui lui conférèrent le cœur pur et l’œil curieux. Il grandit dans l’amour et la sérénité d’un village paisible où il chevaucha tardivement sa première monture mécanique. A ses 20 printemps, son appétence d’indépendance et de savoir le convainquit de s’exiler sur les terres du dragon pictavien afin d’y parfaire ses connaissances en phénomènes physiques et autres étranges engins volants. Au crépuscule de l’an 2007, il s’établit plus au Nord, dans une autre province frappée du lion d’or qui a bien mérité de la patrie. Il y restera 2 printemps, vivant de ses savoirs en mécanique. Mais très vite, son existence se trouve illuminée d’une révélation fantasmagorique. Un temps rationnel et raisonnable, il finira néanmoins par succomber à l’appel divin que son destin lui réserve. Tels les grands découvreurs et autres explorateurs, il n’écoute désormais que son courage pour s’aventurer sur routes et chemins, à travers vaux et vallées, en contrées inconnues et lointaines. Accompagné de sa fidèle jument, pur sang hollandais, Wilhelmina de Arnheim, il part à la conquête des territoires, d’occident en orient, de zénith en septentrion.
Sa quête :
Le graal d’une existence faite de libertés et découvertes.
Sa monture :
Wilhelmina. Née de purs sangs hollandais Koga Miyata, l’immensité de sa robe d’ébène n’a d’égal que sa docilité. Sellée à près de 20kg de matériel, elle dresse encore fièrement sa crinière d’argent. Toutes ses mensurations sont disponibles ici.
11 juil. 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire