31 mai 2010


Je suis à Lødingen et ce sont les averses et le vent de face qui me font galérer depuis 3 jours. La semaine passée a été splendide et j ai incontestablement pu admirer les plus beaux panoramas de tout mon périple.

Sinon tout va bien et je mange plus qu’à ma faim grâce à un cyclo Tchèque qui m’a donné de super combines pour manger à l’œil (et même légales) !!!

Je vous embrasse bien fort il faut que je retourne grimper une pente a 11% vent de face...

Bisous,
Aymeric...

5 commentaires:

  1. Hello bibi !
    Content de voir que ta route se poursuit sans trop d'encombres ! Ca me fait toujours tripper de voir tes messages avec des caractères que nous on n'a même pas sur le clavier !
    Bon, alors c'est quoi tes astuces ?
    Aller, bonne route et que le vent te porte (pour une fois) !

    RépondreSupprimer
  2. bon maintenant que tu as atteint le cap nord tu n'as plu qu'à descendre jusqu'à nous.
    profite de tes derniers jours sur ton vélo en espérant qu'il ne te lâche pas. Kévin rentre lundi en France.
    bisous
    isabelle vp

    RépondreSupprimer
  3. Merci pour vos messages, mes astuces c est du pain gratos a la trancheuse et des legumes frais dans les poubelles. Parfois on trouve meme des patisseries ou d autres produits meme pas perimes...

    RépondreSupprimer
  4. La poubelle fille du monde ne peut donner que ce qu'elle a

    RépondreSupprimer

La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.

La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.

C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Nombre de visites : compteur pour blog