Salut,
Oui ici on me gave, hier soir j ai mange plus que de raison... Du chorizo flambe, des frites, des coulemelles delicieuses cueillies l apres midi meme, des feuilletes au fromage, et des kakis en desserts (je n en avais jamais mange et c est delicieux, ce sont parait il les vitamines de l hiver). Ce matin je n etais pas en reste au petit dej, on me force a reprendre du fromage portugais (encore un delice) et des biscuits aux raisins et de la brioche... Mon estomac n est plus habitue a tout ca... Je suis bien oblige de rester me reposer aujourd hui pour digerer tout ca !
Pour ma roue, j avoue que ca me tracasse un peu, ca n a pas l air bien mechant comme ca mais juste apres le choc ca ne faisait pas ce craquement et depuis j ai l impression que ca empire petit a petit et que le voile (qui reste tres leger quand meme) se prononce un peu plus tous les jours. Pour l instant ca ne me bloque pas mais j ai peur que tot ou tard ca finisse par frotter sur les freins que j ai deja ecartes au max... Bref, je ne sais pas devoiler une roue c est super technique alors on verra a Lisbonne (de toutes facons dans la ville impossible de circuler a velo, les paves, les rues en pentes, etc.)
Je ne sais pas si vous avez recu mon courrier, mais c est vrai que toutes ces eglises sont vraiment impressionnantes et le passage par des lieux aussi symboliques que Santiago ou Fatima ca fait reflechir sur ce qu il y a a voir au dela de nos petites vies... Ce voyage c est aussi l occasion d un renouveau spirituel dans mon esprit, d une remise a plat des priorites de ma vie. Je pense qu a mon retour je ne serai plus le meme au moins sur ce plan la.
Je suis content de savoir que maman se debrouille bien malgre son handicap. Je me doutais bien qu elle finirait par trouver un moyen pour vaquer a ses travaux manuels, c est bien dans son caractere, elle ne peut pas rester sans rien faire trop longtemps !
Je vous embrasse bien fort...
Aymeric.
5 nov. 2009
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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.

Nous venons de rentrer Pat et moi de Cancun, cela fait plaisir de te lire à nouveau.
RépondreSupprimerBonjour Aymeric, c'est Papy Gilbert. J'espère que tu as toujours la forme. Continue sans jamais te décourager. Je pense que tu remonte sur Toulouse pour le mariage de tes amis.Après les épreuves de la route, le réconfort. Vivement Noël que tu passes quelques jours en famille. Nous t'attendons avec impatience.
RépondreSupprimergros bisous de nous deux et que la routete soit moins dure. Le soleil revient. Ton Papy qui pense bien à toi.