17 mars 2010

Contact téléphonique depuis la Bulgarie

Nous avons eu le plaisir d'avoir Aymeric au téléphone.
Il était "déjà" à la frontière entre la Bulgarie et la Roumanie.
Il a été un peu malade : de la fièvre, sans doute un coup de froid.
Heureusement une mamie bulgare l'a soigné, logé et nourri.
Tout va bien maintenant.
Nous allons le retrouver avec plaisir à Budapest.
Il nous confiera la suite de son journal.
Il vous embrasse tous.

4 commentaires:

  1. Bonjour,
    Embrassez le bien de notre part et bon voyage !
    François (qui a hâte de lire les aventures d'Aymeric en détail)

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  2. Et welcome en Roumanie mon petit Aymeric....
    Tu embrasses les roumaines pour moi.. si tu passes à Bucarest, essaye le Carul Cu Bere, la plus belle brasserie du Monde avec son décor baroque... C'est sur Calea Victorië.. l'avenue de la victoire...

    Sinon avec Alicia on pense souvent à toi... même si on ne dépose pas trop de commentaires on lit tes exploits !!

    Bonne Route...

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  3. Coucou Aymeric!

    Je crois que c'est la première fois que je laisse un commentaire même si je pense souvent à toi. Je suis ravie de vor que le voyage t'apporte de magnifiques expériences et de belles rencontres. Tu as déjà parcouru un long chemin et je te souhaite que ton périple t'apporte encore beaucoup de belles choses.
    Tu nous fais voyager un peu avec toi avec ce blog et ça fait vraiment plaisir.

    Gros bisous
    Valou

    PS: vivement cet les retrouvailles de cet été ;)

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  4. bonjour Aymeric
    je profite chez Sylvie, pour te dire que l'on pense beaucoup à toi, Papi suit ton périple sur les papiers éditer par Isabelle. Tu seras content de voir tes parents. Papi et Mamie de Rennes qui t'aiment beaucoup et pensent à toi.

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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.

La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.

C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
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