8 févr. 2010
Retour à la vie estudiantine
Waouh !un peu la barre ce matin ! Enfin ce matin , il est déjà 11h lorsque la coloc émerge. Personne n’ira en cours ce matin. Cure intense de café pour tout le monde. A midi c’est paste pesto ! Alors que certains vont en cours cet après midi avec examen d’anglais en prime (good luck !) Moi je retourne en ville pour finir d’en visiter le centre ville. Qu’il fait bon déambuler dans les petites ruelles sombres. Qu’il est agréable de profiter de la sérénité de la cathédrale ! Qu’il est formidable de profiter du soleil sur la piazza Maggiore et d’admirer les bâtiments qui m’entourent. Ce soir tout le monde est un peu fatigué, c’est bien normal. Une bonne nuit de sommeil pour nous remettre d’aplomb. La colloc retournera à ses études et à ses fêtes estudiantines, moi je vais reprendre la route vers Venise en point de mire et mes adieux à l’Italie probablement pour le week-end prochain.
Libellés :
08 - Italie
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire