26 févr. 2010

Nouvelles d'Elbasan

Salut la compagnie
Je suis a Elbasan. Les 1ers km vers Tirana ont été sympa c’était bien plat dans la vallée. Tirana est vraiment jolie mais le trafic est dément. Repas au son de l appel à la prière du muezzin dans un joli parc jouxtant la grande mosquée puis redémarrage vers Elbasan. Au début ça été tranquille mais très vite la montagne a franchir m’a fait des misères. 20km un peu fous d un col terrible. De la haut la vue sur les vallées de chaque cote était superbe. Puis c’est la belle descente vers Elbasan... Je vais dormir ce soir dans un bar qui va ouvrir des chambres pour touristes quand les travaux seront finis. Pour moi c est parfait et Landi, le patron est trop sympa. Ca a été un peu dur sur la fin mais c est une magnifique journée...

Ah oui j oubliais de dire que je suis un peu malade avec toute cette pluie des derniers jours... Rien de grave mais une toux qui me colle à la gorge depuis quelques jours et un genre d’otite a l oreille droite. Ça ne fait pas mal mais j'ai un liquide bizarre qui coule la nuit, mélange de lymphe de sang et de pue... C’est pas trop cool mais ça se résorbe doucement...

...

Aymeric.

2 commentaires:

  1. Bref, tout ça c'est bien cool, mais de grâce, prends soin de toi mon petit colock ! Il fait pas chaud en ce moment. Soigne toi bien et fout ta cagoule. J'espère que ça va vite aller mieux.

    non, c'est vrai quoi, après, on n'aurait pas la suite des aventures ! ;-)

    bisous

    RépondreSupprimer
  2. Hey Bibi !
    Bon, je suis toujours assidument tes pérégrinations, mais je m'inquiète : tu prends pas soin de ton petit corps d'athlète ! Si tu rencontrais la femme de tes rêves ? Pense à ça !
    Bon, en tout cas, merci de nous tenir au courant, alors qu'en Albanie ça doit être une gageure de choper un accès Internet !!!
    Bon courage, on pense à toi !
    Antoine & Valou

    RépondreSupprimer

La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.

La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.

C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Nombre de visites : compteur pour blog