Salut
je suis à Bologne chez Caterina que j’avais rencontre à Martano la veille de l étape de Lecce et Locorotondo. Presque trop facile pour se retrouver. J’avais un peu peur car Bologne n’était pas sur mes cartes et je n’avais qu’une adresse en tout et pour tout, ni n° de téléphone, ni même un nom de famille... Mais à Bologne l’orientation est très facile depuis le centre et je rencontre des étudiants qui connaissent bien le campus ou vit Caterina. Bref, j’arrive comme un charme devant son immeuble et alors que j’hésite à sonner à toutes les portes, je vois Catarina qui pousse la porte et se jette littéralement dans mes bras... Quel accueil formidable ! Cette fille est d’une gentillesse incroyable...
Depuis Zarroca, il y a eu du bon et du moins bon... En partant le matin, j ai le ventre plein grâce aux bonnes pâtisseries du maître de maison. Le temps est beau et la cote est sympa avec ses plages et ses ports fortifies. Mais ça va vite changer... A Catolica les nuages arrivent et la cote se transforme en enfilade d immeubles. A Rimini il commence à tomber des gouttes et ce n’est que dicothéque et des hôtels de luxe. Pas trop ma tasse de thé... Je repars car je dois quitter la grande ville. Je rentre dans les terres sur la via Emilia avec Bologne en ligne de mire pour la prochaine étape. Mais à 14h le temps est trop pourri, je suis à 10km apres Rimini dans un petit pays nommé Sta Giustina. Je m’arrête à la bibliothèque pour profiter du radiateur. Il y a aussi une salle des fêtes et l’église évangélique donne une cérémonie, il m’offre quelques fruits mais personne ici ne semble disposer a m’héberger. Je dors au calme et à l’abri devant la bibliothèque... Un peu froid...
Le lendemain pluie toute la journée = jour de repos à la bibliothèque... Alors que je pensais encore dormir au même endroit je me retrouve coincé car il y a un bal musette pour les vieux... Pas super tranquille... Mais je suis finalement invité à faire la fête et Cesaro m ‘invite à dormir dans son salon. Trop bien une nuit au chaud !
Énorme petit déjeuner pour grosse journée en vue. Le soleil brille c’est le plus important. Toujours sur la via Emilia je traverse de magnifiques cites comme Cesena, Imola, Faenza. Les centres historiques tous construits en briques rouges sont superbes. Et pour finir la traversée de Bologne... Incroyable la densité de bâtiments anciens au centre historique... La suite et ma traversée de Bologne je vous l ai déjà raconté!
Demain je reste à Bologne... et j en profite pour vous poster mon
récit (enfin...)
Le tiempo e un puogo bruto por la seti semana... Esperiamo che non il e la neve...
7 févr. 2010
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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
Albert Einstein.
La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.
C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
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