23 mars 2010

Roumanie

Salut,

je suis à Turda un peu avant Cluj Napaca je vous écris depuis une station service...

Tout va bien j'ai bien roule ces derniers jours et la traversée des
Carpates était plus facile que prévue...

2 commentaires:

  1. Déjà à Cluj mon pti bonhomme ?

    Alors tu parles roumain aussi bien que moi désormais ? Que penses tu de ce magnifique pays ? Les gens t'ont fait profiter des spécialités locales ? (évite juste le vin, il est pas top !!)

    La Revedere si buna seara !!

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  2. Bonjour mon grand. Tu vole comme un oiseau sur ta bicyclette. quand tu auras terminé ton périple, tu pourras l'exposer comme un trophé. Nous savons par tes parents que tu es désormais en Pologne. Que de frontières déjà franchies. Je suis allé hier à l'hôpital pour me faire faire un cardioversion. C'est une espèce d'électrochoc sous anesthésie pou régulariser les battements du coeur. Ils m'ont dit que c'était réussi. Le contrôle aura lieu dans un mois. Si c'est bon, me voilà reparti pour cent ans.Nous avons terminé la peinture du mur et des grilles de la maison. Cétait un gros travail. Nous pensons que ça durera quelques années. Ce matin, Mamie est partie se faire faire une teinture chez le coiffeur. Pourvu que je la reconnaisse lorsqu'elle rentrera !
    Tes parents sont venus nous rendre visite dimanche dernier. Nous étions heureux d'être ensemble durant ce week-end. A part cela, rien de neuf. Nous te souhaitons un moral d'acier et beaucoup de courage. Gros bisous de tes papy et mamie qui sont tellement fiers de leur petit fils.

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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.

La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.

C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
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