26 juin 2010

Salut,

je suis à Egersund, il fait un super soleil et le vent dans le dos est absolument génial, il n y a même pas besoin de pédaler... Le décor a pas mal changé depuis que j'ai rejoins Stavanger et désormais c'est assez plat avec un super réseau de pistes cyclables qui parcourt tout le littoral de la mer du Nord.

Stavanger est très moyenne comme le reste des villes norvégiennes mais ça a surtout été l occasion de voir le Queen Mary 2 et le Costa Atlantica cote à cote à quai dans le port... Vraiment impressionnant !

Pour dormir c est assez simple, je vise les écoles ou les gymnases tous les soirs et systématiquement je trouve un coin abrité pour passer la nuit tranquille. Pour sécher mes affaires ça n'a pas toujours été simple et j'ai essaye de maximiser le séchage entre les averses, ça a été assez efficace. En fait, la pluie est moins problématique désormais puisqu'il ne fait pas froid. Même mouillé ça reste gérable. Et avec le soleil de nuit il ne fait jamais froid... Je commence d ailleurs a voir la différence avec mes nuits dans le Nord, maintenant il fait presque nuit entre 23h et 1h.

Moi aussi je pense beaucoup à vous et à tout le monde. J’ai hâte d'être de retour et ce dernier mois va me paraître interminable...
Bisous.
Aymeric.

1 commentaire:

  1. Hej !
    Nous aussi on a hâte ! N'oublie pas d'en profiter à fond quand même ! On fêtera les retrouvailles dignement ensuite !
    A bientôt,

    Antoine & Valou

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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein.

La jeunesse est une victoire du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
Douglas MacArthur.

C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là. Songez à des régions comme le Banat, la Caspienne, le Cachemire, aux musiques qui y résonnent, aux regards qu’on y croise, aux idées qui vous y attendent… Lorsque le désir résiste aux premières atteintes du bon sens, on lui cherche des raisons. Et on en trouve qui ne valent rien. La vérité, c’est qu’on ne sait comment nommer ce qui vous pousse. Quelque chose en vous grandit et détache les amarres, jusqu’au jour où, pas trop sûr de soi, on s’en va pour de bon.
Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.
Nicolas Bouvier.
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